Mieux vivre le diabète

MIEUX VIVRE AVEC LE DIABETE GRÂCE A L’IF ! 

L’IF nous apprend  à mieux gérer notre alimentation : il nous apporte donc une plus grande liberté dans la gestion de notre diabète !

Avant la pratique de l’IF, les écarts alimentaires étaient vécus avec culpabilité…C’est désormais terminé !

Le stage IF nous permet d’acquérir des connaissances sur les aliments. Le livret « Les glucides dans l’alimentation » nous guide (comme son nom l’indique) dans l’estimation des glucides des principaux aliments que nous consommons.

 On apprend aussi à s’affranchir du cadre rigide des repas.

Les horaires sont flexibles (possibilité de « sauter un repas » ou de le reporter).
Le régime alimentaire strict n’existe plus : il n’y a plus d’aliment interdit !

Notre relation aux aliments est donc libre et nous prenons un réel plaisir à nous alimenter… comme les non-diabétiques !

L’IF permet aussi de mieux gérer notre diabète en fonction de l’activité physique…On agit alors en fonction de son intensité et de sa durée. Mais attention : l’impact de l’activité physique varie d’une personne à l’autre !

Par exemple, pour une heure et demie de sport modéré, on peut baisser l’apport d’insuline entre 20 et 30 %…
Des pics hyperglycémiques peuvent néanmoins apparaître : cela est dû à l’hormone du stress : le cortisol.

Autre exemple : une randonnée avec des dénivelés importants peut occasionner des baisses rapides de glycémies et donc des hypoglycémies.
C’est pourquoi, quand c’est possible, se renseigner avant l’activité sur son intensité et sa durée !

A retenir absolument : il est important de mesurer sa glycémie avant chaque effort physique, et s’alimenter (avant,  pendant et après) pour éviter une hypoglycémie !

L’IF nous permet de calculer tout cela…

3e argument en faveur de l’IF : elle améliore notre équilibre glycémique…Les hémoglobines glyquées des patients qui suivent l’IF le montrent…

(Comparaison de % avec IF  / sans IF)

Physiquement, mais aussi moralement, l’IF change la vie des patients diabétiques…La relation à leur maladie est « apaisée »… Ils parlent parfois d’un « après IF » en comparant avec leur vie d’avant…